Le 27. juin 2011 à 14h53
Six Fours Motonautisme Bon bilan après la fin du Race Tour 2011 et belles perspectives locales
Dimanche, c'était jour de fête pour les Championnats de France de offshore avec la dernière journée de compétition et la remise des titres.
Après un samedi radieux, ce fut encore le cas dimanche avec des conditions météo parfaites, notamment le matin, pour que ces bolides des mers puissent lâcher les chevaux sur l'eau et atteindre des vitesses phénoménales (jusqu'à 150 km/h).
Entre chaque série de la compétition le public intéressé a pu tester ces sensations grâce à des embarcations spécialement conçues pour ce genre de baptêmes.
Côté résultats pas de réelles surprises, les ténors tenant leurs rangs grâce à une navigation maitrisée notamment pour la journée du samedi avec le résidus de houle générée par le mistral la veille.
Le bilan de ce week-end aura été très bon avec un public nombreux venu assister aux courses, une organisation sans faille tant au niveau logistique des courses, d'accueil ou de sécurité.
Il ne faut pas oublier l'impact économique de cette manifestation qui aura permis aux commerçants locaux d'accueillir une clientèle nombreuse.
Cette épreuve dès sa deuxième édition est en train de créer une dynamique forte.
En perspective, l'équipe organisatrice annonce une volonté de poursuivre les échanges avec les écoles de formation professionnelle comme les lycées avec option mécanique et par exemple avec l'IPFM (’Institut de promotion et de formation aux métiers de la mer). L'idée serait de mettre en place des équipages intercommunaux en construisant un projet qui mêle la formation des jeunes, la pratique, et les questions d'impacts économiques et de dynamiques. Ainsi des équipages intercommunaux pourraient prendre part au championnat de France en lien avec l'organisation qui prendrait elle à sa charge nourriture, hébergement etc...
Pour la catégorie Thundercat, le prix d'un bateau tout équipé avoisine les 10 000 euros et reste donc abordable dans le cadre d'une volonté intercommunale.
Enfin, un constat général semble montrer que la Méditerranée soit mise de côté pour tout ce qui est activités nautiques (manque d'anneaux aux ports, réglementations...) qui amèneraient des usagers à partir ailleurs ou à s'écarter de leurs sports nautiques préférés. Soucieuses de cela, les fédérations de motonautisme et de voile se sont rapprochées afin de réfléchir ensemble à un avenir plus radieux pour la grande bleue.
Entre chaque série de la compétition le public intéressé a pu tester ces sensations grâce à des embarcations spécialement conçues pour ce genre de baptêmes.
Côté résultats pas de réelles surprises, les ténors tenant leurs rangs grâce à une navigation maitrisée notamment pour la journée du samedi avec le résidus de houle générée par le mistral la veille.
Le bilan de ce week-end aura été très bon avec un public nombreux venu assister aux courses, une organisation sans faille tant au niveau logistique des courses, d'accueil ou de sécurité.
Il ne faut pas oublier l'impact économique de cette manifestation qui aura permis aux commerçants locaux d'accueillir une clientèle nombreuse.
Cette épreuve dès sa deuxième édition est en train de créer une dynamique forte.
En perspective, l'équipe organisatrice annonce une volonté de poursuivre les échanges avec les écoles de formation professionnelle comme les lycées avec option mécanique et par exemple avec l'IPFM (’Institut de promotion et de formation aux métiers de la mer). L'idée serait de mettre en place des équipages intercommunaux en construisant un projet qui mêle la formation des jeunes, la pratique, et les questions d'impacts économiques et de dynamiques. Ainsi des équipages intercommunaux pourraient prendre part au championnat de France en lien avec l'organisation qui prendrait elle à sa charge nourriture, hébergement etc...
Pour la catégorie Thundercat, le prix d'un bateau tout équipé avoisine les 10 000 euros et reste donc abordable dans le cadre d'une volonté intercommunale.
Enfin, un constat général semble montrer que la Méditerranée soit mise de côté pour tout ce qui est activités nautiques (manque d'anneaux aux ports, réglementations...) qui amèneraient des usagers à partir ailleurs ou à s'écarter de leurs sports nautiques préférés. Soucieuses de cela, les fédérations de motonautisme et de voile se sont rapprochées afin de réfléchir ensemble à un avenir plus radieux pour la grande bleue.
D. C., le 27 juin 2011
Sfn Media Sarl, 421 avenue des Charmettes, 83140 LE BRUSC.
Liens :
Ouest-Var.net sur Facebook
